Depuis plusieurs mois, les Rafale de l'Armée de l'Air & de l'Espace française (AAE) déployés en Jordanie dans le cadre de l'opération Chammal interagissent régulièrement avec les F-16IQ de la force aérienne irakienne lors de missions de type "Partner Nation Integration". Cette proximité a attiré l'attention de l'ancien ministre irakien de la Défense, Juma Enad Saadoun, qui, après avoir visité la base aérienne de Saint-Dizier et été présenté au Rafale et au système de défense aérienne Mamba, a confirmé l'intérêt de Bagdad pour le chasseur-bombardier de Dassault-Aviation.
Un an après la déclaration de l'intérêt de l'Irak pour le Rafale, il a été suggéré que le ministère irakien de la Défense envisageait de commander 14 de ces avions, grâce à un budget de 3,36 milliards d'euros. Ce montant devait également couvrir l'achat de munitions, le soutien logistique, ainsi que la formation des pilotes et des techniciens. Malgré des rumeurs sur la finalisation d'un contrat, aucune preuve concrète n'a émergé à ce jour. Cependant, le ministère français des Armées maintient l'espoir d'une commande irakienne.
Trois Rafale de la 30e Escadre de chasse ont atterri sur la base aérienne "Général Ali Flaih" en Irak pour participer à l'exercice Ababil-1, le premier du genre organisé par la force aérienne irakienne. Les pilotes français ont été accueillis par le général Shihab Jahid Ali, chef d'état-major de la force aérienne irakienne, et le contre-amiral Emmanuel Slaars, commandant de la zone maritime océan indien et des Forces françaises aux Émirats arabes unis. Cette occasion a été saisie pour discuter du renforcement de la coopération franco-irakienne dans le domaine aérien.
En effet, le général Yahya Rasoul, porte-parole de la force aérienne irakienne, a confirmé auprès de l'agence de presse irakienne Iraqi News Agency le 23 mai, l'intérêt de l'Irak pour le Rafale, le qualifiant de "pointe de la technologie avec des capacités élevées". Par ailleurs, l'accord de partenariat stratégique signé en janvier dernier lors de la visite officielle du Premier ministre irakien, M. Al-Sudani à Paris, renforce les relations bilatérales et établit un cadre formel pour une coopération diversifiée et globale dans divers domaines. La question qui se pose est : Le Rafale sera-t-il la prochaine acquisition majeure de l'Irak dans le cadre de cette coopération ?
Depuis plusieurs mois, les Rafale de l'Armée de l'Air & de l'Espace française (AAE) déployés en Jordanie dans le cadre de l'opération Chammal interagissent régulièrement avec les F-16IQ de la force aérienne irakienne lors de missions de type "Partner Nation Integration". Cette proximité a attiré l'attention de l'ancien ministre irakien de la Défense, Juma Enad Saadoun, qui, après avoir visité la base aérienne de Saint-Dizier et été présenté au Rafale et au système de défense aérienne Mamba, a confirmé l'intérêt de Bagdad pour le chasseur-bombardier de Dassault-Aviation.
Un an après la déclaration de l'intérêt de l'Irak pour le Rafale, il a été suggéré que le ministère irakien de la Défense envisageait de commander 14 de ces avions, grâce à un budget de 3,36 milliards d'euros. Ce montant devait également couvrir l'achat de munitions, le soutien logistique, ainsi que la formation des pilotes et des techniciens. Malgré des rumeurs sur la finalisation d'un contrat, aucune preuve concrète n'a émergé à ce jour. Cependant, le ministère français des Armées maintient l'espoir d'une commande irakienne.
Trois Rafale de la 30e Escadre de chasse ont atterri sur la base aérienne "Général Ali Flaih" en Irak pour participer à l'exercice Ababil-1, le premier du genre organisé par la force aérienne irakienne. Les pilotes français ont été accueillis par le général Shihab Jahid Ali, chef d'état-major de la force aérienne irakienne, et le contre-amiral Emmanuel Slaars, commandant de la zone maritime océan indien et des Forces françaises aux Émirats arabes unis. Cette occasion a été saisie pour discuter du renforcement de la coopération franco-irakienne dans le domaine aérien.
En effet, le général Yahya Rasoul, porte-parole de la force aérienne irakienne, a confirmé auprès de l'agence de presse irakienne Iraqi News Agency le 23 mai, l'intérêt de l'Irak pour le Rafale, le qualifiant de "pointe de la technologie avec des capacités élevées". Par ailleurs, l'accord de partenariat stratégique signé en janvier dernier lors de la visite officielle du Premier ministre irakien, M. Al-Sudani à Paris, renforce les relations bilatérales et établit un cadre formel pour une coopération diversifiée et globale dans divers domaines. La question qui se pose est : Le Rafale sera-t-il la prochaine acquisition majeure de l'Irak dans le cadre de cette coopération ?
Commentaires