Après s'être essayé au largage de drones, l'Airbus A400M va aussi tester le largage de planeurs de ravitaillement, un besoin de l'Armée de Terre qui fait l'objet d'un appel à manifestation d'intérêt émis par le pôle d'innovation technique de la DGA/Techniques Aérospatiales IDEA3.
Afin d'améliorer le ravitaillement des personnels lors d'opérations aéroportées, l'Armée de Terre est à la recherche d'un moyen plus performant et plus sécurisé de largage de fret par les airs que le largage par gravité et le largage par éjection qui imposent que l'avion passe à la verticale de la zone de poser qui peut se trouver en "environnement contesté". Le projet est donc de concevoir et développer un planeur de ravitaillement pouvant être largué depuis la très confortable soute de l'Airbus A400M. Le besoin fait désormais l'objet d'un appel à manifestation d'intérêt émis par le pôle d'innovation technique de la DGA/Techniques Aérospatiales IDEA3. Et les intéressés ont jusqu'au 12 mars prochain pour déposer leurs candidatures.
Le concept du planeur de ravitaillement largué permettrait de porter la distance du largage à la zone de poser à plus de 80km pour une altitude de largage de 24 000 pieds (FL 240) depuis l'Airbus A400M. Consommable ("son intégrité n'est pas demandée"/ndlr), le futur planeur doit pouvoir voler en automatique sur un plan de vol préprogrammé à une hauteur de largage de l'ordre minimale de 12 000 pieds (3 600 m), jugée "primordiale", 24 000 pieds (Important), 30 000 pieds (souhaitable). Il lui faut voler sur une distance de 70 à 80 km avec une charge utile de 700 kg et "composée de différents éléments et d'un volume total de 1 m3 (primordial), 1,5 m3 (important)".
Les besoins demandent que le futur planeur de ravitaillement puisse " être aérotransporté en toute sécurité dans la soute de l’aéronef largueur, avant largage, notamment en assurant l’arrimage de la Charge Utile (dans le planeur) et celui du planeur" et "être aéro-largué et réaliser sa mise en vol en assurant la sécurité de l’aéronef largeur". Des éléments d'autant pus importants que l'aéronef devra "être largué en série (au minimum 2)". Le planeur devra aussi "disposer d’un système de posé sur terrain plat ou en pente légère, sec ou humide" et ce posé "doit permettre aux utilisateurs de récupérer la charge utile dans son intégralité (pour une vitesse d’impact verticale au sol < 9 m/s).
Après s'être essayé au largage de drones, l'Airbus A400M va aussi tester le largage de planeurs de ravitaillement, un besoin de l'Armée de Terre qui fait l'objet d'un appel à manifestation d'intérêt émis par le pôle d'innovation technique de la DGA/Techniques Aérospatiales IDEA3.
Afin d'améliorer le ravitaillement des personnels lors d'opérations aéroportées, l'Armée de Terre est à la recherche d'un moyen plus performant et plus sécurisé de largage de fret par les airs que le largage par gravité et le largage par éjection qui imposent que l'avion passe à la verticale de la zone de poser qui peut se trouver en "environnement contesté". Le projet est donc de concevoir et développer un planeur de ravitaillement pouvant être largué depuis la très confortable soute de l'Airbus A400M. Le besoin fait désormais l'objet d'un appel à manifestation d'intérêt émis par le pôle d'innovation technique de la DGA/Techniques Aérospatiales IDEA3. Et les intéressés ont jusqu'au 12 mars prochain pour déposer leurs candidatures.
Le concept du planeur de ravitaillement largué permettrait de porter la distance du largage à la zone de poser à plus de 80km pour une altitude de largage de 24 000 pieds (FL 240) depuis l'Airbus A400M. Consommable ("son intégrité n'est pas demandée"/ndlr), le futur planeur doit pouvoir voler en automatique sur un plan de vol préprogrammé à une hauteur de largage de l'ordre minimale de 12 000 pieds (3 600 m), jugée "primordiale", 24 000 pieds (Important), 30 000 pieds (souhaitable). Il lui faut voler sur une distance de 70 à 80 km avec une charge utile de 700 kg et "composée de différents éléments et d'un volume total de 1 m3 (primordial), 1,5 m3 (important)".
Les besoins demandent que le futur planeur de ravitaillement puisse " être aérotransporté en toute sécurité dans la soute de l’aéronef largueur, avant largage, notamment en assurant l’arrimage de la Charge Utile (dans le planeur) et celui du planeur" et "être aéro-largué et réaliser sa mise en vol en assurant la sécurité de l’aéronef largeur". Des éléments d'autant pus importants que l'aéronef devra "être largué en série (au minimum 2)". Le planeur devra aussi "disposer d’un système de posé sur terrain plat ou en pente légère, sec ou humide" et ce posé "doit permettre aux utilisateurs de récupérer la charge utile dans son intégralité (pour une vitesse d’impact verticale au sol < 9 m/s).
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