Finnair, comme la majorité des compagnies aériennes européennes, est impacté par la fermeture de l'espace aérien russe. La compagnie cherche des alternatives pour assurer son trafic en adaptant ses trajets vers l'Asie.
La fermeture de l'espace aérien russe impacte considérablement la compagnie, dont la majorité des vols long-courriers se situe en Asie. Ainsi, Finnair met régulièrement à jour son programme afin de s'adapter à cette guerre en trouvant des trajets alternatifs. Finnair assure ses principaux trajets vers le marché asiatique, même avec des temps de trajets plus longs, et continue désormais à desservir Séoul et Shanghai depuis son hub d'Helsinki. En revanche, Finnair annule une partie de ses vols vers Osaka et Hong Kong jusqu'à la fin du mois d'avril. Depuis le 10 mars, Finnair dessert Shanghai une fois par semaine le jeudi, et à partir du 12 mars elle desservira Séoul trois fois par semaine le mercredi, le samedi et le dimanche. L’ensemble de ses vols vont contourner l’espace aérien russe avec un temps de trajet moyen de 12 à 14 heures pour les liaisons avec Shanghai et Séoul. Les deux trajets contournent l’espace aérien empruntant un trajet plus au sud en Europe. Éviter l'espace aérien russe sur les vols entre l'Europe et l'Asie a des répercussions considérables sur les temps de vol, et donc sur les coûts de carburant, de personnel et de droits de navigation.
Finnair avait annoncé de fermer l'ensemble des vols de fret et de passagers vers Séoul, Osaka, Tokyo, Shanghai et Guangzhou du 28 février au 6 mars, minimum. Cette mesure est une mauvaise nouvelle pour Finnair qui assure la majorité de ses vols en destinations de ces villes. Pour assurer ses vols vers la Russie, Finnair emprunte largement l'espace aérien russe. Plus de la moitié de l’itinéraire d’Helsinki à Singapour (vol AY131) traverse la Russie. Dans le cas de l’AY73 d’Helsinki à Tokyo, la part russe de l’itinéraire est d'environ les trois quarts. Ce contournement de l'espace russe allonge considérablement les temps de vol vers l'asie et entraîne une augmentation de la consommation de carburant. Cette décision a été prise en raison d'un manque de compétitivité des vols passagers du cargo vers l'Asie, un plan d'urgence été mise en place par Finnair pour trouver des solutions.
Finnair, comme la majorité des compagnies aériennes européennes, est impacté par la fermeture de l'espace aérien russe. La compagnie cherche des alternatives pour assurer son trafic en adaptant ses trajets vers l'Asie.
La fermeture de l'espace aérien russe impacte considérablement la compagnie, dont la majorité des vols long-courriers se situe en Asie. Ainsi, Finnair met régulièrement à jour son programme afin de s'adapter à cette guerre en trouvant des trajets alternatifs. Finnair assure ses principaux trajets vers le marché asiatique, même avec des temps de trajets plus longs, et continue désormais à desservir Séoul et Shanghai depuis son hub d'Helsinki. En revanche, Finnair annule une partie de ses vols vers Osaka et Hong Kong jusqu'à la fin du mois d'avril. Depuis le 10 mars, Finnair dessert Shanghai une fois par semaine le jeudi, et à partir du 12 mars elle desservira Séoul trois fois par semaine le mercredi, le samedi et le dimanche. L’ensemble de ses vols vont contourner l’espace aérien russe avec un temps de trajet moyen de 12 à 14 heures pour les liaisons avec Shanghai et Séoul. Les deux trajets contournent l’espace aérien empruntant un trajet plus au sud en Europe. Éviter l'espace aérien russe sur les vols entre l'Europe et l'Asie a des répercussions considérables sur les temps de vol, et donc sur les coûts de carburant, de personnel et de droits de navigation.
Finnair avait annoncé de fermer l'ensemble des vols de fret et de passagers vers Séoul, Osaka, Tokyo, Shanghai et Guangzhou du 28 février au 6 mars, minimum. Cette mesure est une mauvaise nouvelle pour Finnair qui assure la majorité de ses vols en destinations de ces villes. Pour assurer ses vols vers la Russie, Finnair emprunte largement l'espace aérien russe. Plus de la moitié de l’itinéraire d’Helsinki à Singapour (vol AY131) traverse la Russie. Dans le cas de l’AY73 d’Helsinki à Tokyo, la part russe de l’itinéraire est d'environ les trois quarts. Ce contournement de l'espace russe allonge considérablement les temps de vol vers l'asie et entraîne une augmentation de la consommation de carburant. Cette décision a été prise en raison d'un manque de compétitivité des vols passagers du cargo vers l'Asie, un plan d'urgence été mise en place par Finnair pour trouver des solutions.
Félicitations à cette compagnie qui cherche et trouve des solutions sans demander l’aide de l’État Finlandais. Un exemple pour les compagnies françaises.
Félicitations à cette compagnie qui cherche et trouve des solutions sans demander l’aide de l’État Finlandais. Un exemple pour les compagnies françaises.
Oui exactement, une excellente compagnie!
Félicitations à cette compagnie qui cherche et trouve des solutions sans demander l’aide de l’État Finlandais. Un exemple pour les compagnies françaises.