Organisée par le cabinet Novaspace, la World Satellite Business Week va se tenir à Paris du 16 au 20 septembre. L’événement ne s’annonce pas – doux euphémisme – des plus enthousiastes pour les acteurs européens de la « galaxie satellite ».
Le 12 septembre, le milliardaire américain s’est offert une marche dans le vide à l’extérieur d’un vaisseau Crew Dragon de SpaceX, avant de laisser sa place à l’ingénieure américaine Sarah Gillis. Une première sans réel intérêt mais fortement médiatisée.
Le prochain vol d’essai du mégalanceur de SpaceX, le Starship, ne devrait pas être autorisé avant le mois de novembre. L’entreprise fait savoir son désarroi.
Une nouvelle mission 100 % privée préparée par l’entreprise californienne vient de s’élancer de Floride. Son principal objectif est particulièrement audacieux : réaliser la première sortie extravéhiculaire commerciale.
En attendant le départ de la mission Polaris Dawn et la première sortie dans le vide privée, SpaceX a annoncé préparer d’ici la fin de l’année une autre mission habitée commerciale inédite : Fram2.
Coup de théâtre : la NASA a décidé que les deux astronautes « coincés » depuis début juin à bord de la Station spatiale internationale seraient rapatriés l’an prochain par un vaisseau de… SpaceX.
Il n’aura fallu que deux semaines à l’infatigable opérateur californien pour identifier le défaut qui a provoqué l’échec du lancement du 12 juillet, le régler et obtenir l’autorisation de retour en vol.
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 6 juin, SpaceX a procédé au quatrième essai en vol de son mégalanceur. Les objectifs visés ont été atteints et le spectacle au rendez-vous.
SpaceX continue ses lancements à cadence infernale : le 14 mai, la cinquantième mission de l’année avec un Falcon 9 s’élançait depuis la Californie… quelques heures après un nouveau revers pour United Launch Alliance.