Un tout nouveau drone suicide imprimé en 3D issu d’un programme secret britannique jusqu’ici inconnu pourrait être fourni à l’armée ukrainienne.
L’entreprise d'armement et de recherche militaire britannique QinetiQ a dévoilé les détails d’un programme de recherche secret commandé par le Royaume-Uni au Futur Capability Group (FCG). Ce groupe, qui fait partie de la branche « Équipement et soutien de défense » (DE&S) du ministère de la Défense (MoD), s'est vu confier la mission à très court terme de développer et tester en vol plusieurs drones «complexes».
Ce programme avait aussi pour objectif d’émettre des recommandations au sujet d’un système d'aéronefs sans pilote (UAS) pouvant être rapidement déployés par l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie. Il participe à un projet plus large nommé KINDRED qui a pour ambition d’identifier des équipements pouvant être mis en service dans un délai de quatre mois. Le FCG à reçu la direction du volet UAS pour son habitude dans l’expérimentation de nouvelles technologies. Il n’y cependant pas d’informations sur l’UAS choisi pour être fourni aux forces ukrainiennes.
Dans la déclaration de QinetiQ, recruté pour le projet de la FCG, une photo sans légende montre un drone de petite taille avec une aile Delta et une dérive verticale. Selon les observations du magazine "The War Zone" il serait apparemment alimentée par une paire de micro-turbine moteurs et pourrait correspondre au drone « suicide » à aile delta imprimé en 3D évoqué par l’entreprise britannique.
L'impression 3D est actuellement à l'étude au sein de l'armée britannique car elle permet une livraison et une production accélérée du matériel militaire. Les équipements pourraient être produits quand le besoin s'en ressentirait et non en prévision d'un potentiel emploi. Aucune confirmation officielle et très peu d'éléments au sujet de ce drone ne sont disponibles. La déclaration de QinetiQ apparaît néanmoins dans un contexte d'intensification des offensives russes et à quelques mois des offensives et contre-offensives de printemps en Ukraine dont parlent de nombreux spécialistes.
Une démonstration de plusieurs éléments du programme à eu lieu sur le site d'essais d'avions militaires de Boscombe Down dans le sud de l'Angleterre. Il incluait des charges utiles C2 (commande et contrôle), des capteurs (non spécifiés) ainsi que des UAS à décollage et atterrissage vertical (VTOL). Il a aussi offert un drone unique "suicide" imprimé en 3D.
Les entreprises impliquées dans le programme ne sont pas connues à l'heure actuelle. On sait cependant que plusieurs organes du milieu de la défense britannique ont assisté à la démonstration. Parmi eux s'est décrit le Rapid Capabilities Office (RCO) de la Royal Air Force (RAF) en charge de l'accélération du développement de certains systèmes technologiques. Outre le FCG et le DE&S, les autres participants étaient la Royal Navy, le 56e Escadron de la RAF, la Royal Artillery, le Defence Science and Technology Laboratories (DSTL), le UK Strategic Command et le QG de l'armée britannique.
Un tout nouveau drone suicide imprimé en 3D issu d’un programme secret britannique jusqu’ici inconnu pourrait être fourni à l’armée ukrainienne.
L’entreprise d'armement et de recherche militaire britannique QinetiQ a dévoilé les détails d’un programme de recherche secret commandé par le Royaume-Uni au Futur Capability Group (FCG). Ce groupe, qui fait partie de la branche « Équipement et soutien de défense » (DE&S) du ministère de la Défense (MoD), s'est vu confier la mission à très court terme de développer et tester en vol plusieurs drones «complexes».
Ce programme avait aussi pour objectif d’émettre des recommandations au sujet d’un système d'aéronefs sans pilote (UAS) pouvant être rapidement déployés par l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie. Il participe à un projet plus large nommé KINDRED qui a pour ambition d’identifier des équipements pouvant être mis en service dans un délai de quatre mois. Le FCG à reçu la direction du volet UAS pour son habitude dans l’expérimentation de nouvelles technologies. Il n’y cependant pas d’informations sur l’UAS choisi pour être fourni aux forces ukrainiennes.
Dans la déclaration de QinetiQ, recruté pour le projet de la FCG, une photo sans légende montre un drone de petite taille avec une aile Delta et une dérive verticale. Selon les observations du magazine "The War Zone" il serait apparemment alimentée par une paire de micro-turbine moteurs et pourrait correspondre au drone « suicide » à aile delta imprimé en 3D évoqué par l’entreprise britannique.
L'impression 3D est actuellement à l'étude au sein de l'armée britannique car elle permet une livraison et une production accélérée du matériel militaire. Les équipements pourraient être produits quand le besoin s'en ressentirait et non en prévision d'un potentiel emploi. Aucune confirmation officielle et très peu d'éléments au sujet de ce drone ne sont disponibles. La déclaration de QinetiQ apparaît néanmoins dans un contexte d'intensification des offensives russes et à quelques mois des offensives et contre-offensives de printemps en Ukraine dont parlent de nombreux spécialistes.
Une démonstration de plusieurs éléments du programme à eu lieu sur le site d'essais d'avions militaires de Boscombe Down dans le sud de l'Angleterre. Il incluait des charges utiles C2 (commande et contrôle), des capteurs (non spécifiés) ainsi que des UAS à décollage et atterrissage vertical (VTOL). Il a aussi offert un drone unique "suicide" imprimé en 3D.
Les entreprises impliquées dans le programme ne sont pas connues à l'heure actuelle. On sait cependant que plusieurs organes du milieu de la défense britannique ont assisté à la démonstration. Parmi eux s'est décrit le Rapid Capabilities Office (RCO) de la Royal Air Force (RAF) en charge de l'accélération du développement de certains systèmes technologiques. Outre le FCG et le DE&S, les autres participants étaient la Royal Navy, le 56e Escadron de la RAF, la Royal Artillery, le Defence Science and Technology Laboratories (DSTL), le UK Strategic Command et le QG de l'armée britannique.
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