Dans la nuit du 5 au 6 novembre, un avion de transport tactique C-130 Hercules jordanien a largué des caisses de matériels humanitaires afin de soutenir l’hôpital jordanien de Gaza. L'opération a été coordonnée avec les Forces armées israéliennes.
Depuis l'attaque du 7 octobre, Israël a décidé de lancer un blocus terrestre mais aussi maritime sur la bande de Gaza. L’Égypte, seule autre solution via son unique point de passage de Rafah, ne peut toutefois pas assurer un flux constant : le point de passage ouvre et ferme au grès des menaces de combattants voulant entrer en Égypte, des bombardements israéliens proches du poste, etc. De fait, l'aide humanitaire arrive au compte-goutte. Dans les airs, aucune solution directe n'est possible : l'aéroport international Yasser Arafat (ICAO : LVGZ) est en ruine depuis sa destruction en 2001. Un aérodrome, baptisé aéroport de Gush Katif, disposait d'une piste de 33 mètres de long. Elle était alors utilisée par la mission de l'ONU dans la bande de Gaza (UNRWA) mais la piste a été abandonnée en 2004.
Afin de contourner les nombreux problèmes de transport et la lenteur du passage entre l’Égypte et la bande de Gaza, la Jordanie a effectué un aérolargage sur la bande de Gaza : dans la nuit du 5 au 6 novembre, un avion de transport tactique C-130 Hercules de la Force royale jordanienne a largué plusieurs caisses de matériels humanitaires sur une zone non spécifiée. Une fois larguée de la rampe arrière, la chute des caisses est ralentie par l'ouverture d'un ou de plusieurs parachutes, garantissant un atterrissage "en douceur" de la cargaison. A noter que le matériel aérolargué est probablement limité : les images disponibles ne montrent que trois caisses dans la soute du Hercules.
Comme expliqué par une publication sur X du roi Abdallah II de Jordanie, l'objectif de cette opération était de ravitailler l'hôpital jordanien de la bande de Gaza. L'opération a bien évidemment été coordonnée avec les Forces armées israéliennes.
Dans la nuit du 5 au 6 novembre, un avion de transport tactique C-130 Hercules jordanien a largué des caisses de matériels humanitaires afin de soutenir l’hôpital jordanien de Gaza. L'opération a été coordonnée avec les Forces armées israéliennes.
Depuis l'attaque du 7 octobre, Israël a décidé de lancer un blocus terrestre mais aussi maritime sur la bande de Gaza. L’Égypte, seule autre solution via son unique point de passage de Rafah, ne peut toutefois pas assurer un flux constant : le point de passage ouvre et ferme au grès des menaces de combattants voulant entrer en Égypte, des bombardements israéliens proches du poste, etc. De fait, l'aide humanitaire arrive au compte-goutte. Dans les airs, aucune solution directe n'est possible : l'aéroport international Yasser Arafat (ICAO : LVGZ) est en ruine depuis sa destruction en 2001. Un aérodrome, baptisé aéroport de Gush Katif, disposait d'une piste de 33 mètres de long. Elle était alors utilisée par la mission de l'ONU dans la bande de Gaza (UNRWA) mais la piste a été abandonnée en 2004.
Afin de contourner les nombreux problèmes de transport et la lenteur du passage entre l’Égypte et la bande de Gaza, la Jordanie a effectué un aérolargage sur la bande de Gaza : dans la nuit du 5 au 6 novembre, un avion de transport tactique C-130 Hercules de la Force royale jordanienne a largué plusieurs caisses de matériels humanitaires sur une zone non spécifiée. Une fois larguée de la rampe arrière, la chute des caisses est ralentie par l'ouverture d'un ou de plusieurs parachutes, garantissant un atterrissage "en douceur" de la cargaison. A noter que le matériel aérolargué est probablement limité : les images disponibles ne montrent que trois caisses dans la soute du Hercules.
Comme expliqué par une publication sur X du roi Abdallah II de Jordanie, l'objectif de cette opération était de ravitailler l'hôpital jordanien de la bande de Gaza. L'opération a bien évidemment été coordonnée avec les Forces armées israéliennes.
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