Dans le cadre de la mission Scorpion, six commandos marine ont été parachuté depuis un Atlantique 2 de la Marine nationale. Ces derniers ont alors apponté sur le pont du porte-avions Charles de Gaulle, en pleine mer Méditerranée, pour ensuite se rééquiper et effectuer un assaut héliporté sur une frégate grecque. Cette mission représente deux grandes premières pour la Marine : le premier appontage de chuteurs opérationnels sur le pont d'envol du porte-avions et la capacité de l'Atlantique 2 à larguer des forces spéciales.
Le 28 novembre, Air&Cosmos publiait déjà dans cet article les nombreuses interactions avec le porte-avions français Charles de Gaulle en mer Méditerranée. Parmi celles-ci, une opération comprenant des forces spéciales avait été effectuée depuis son pont d'envol. Elle consistait à projeter six commandos marine sur le Charles de Gaulle via le parachutage des opérateurs des forces spéciales depuis un avion de patrouille maritime Atlantique 2, le tout, en vue d'un assaut héliporté (depuis le porte-avions) sur une frégate grecque.
Les Forces armées françaises sont revenues sur cet exercice, baptisé Scorpion, et notamment grâce à une vidéo publiée le 30 novembre sur le compte Twitter de l'État-major des Armées.
Elle comporte 5 parties :
Cette opération est exceptionnelle pour deux raisons. Tout d'abord l'emport et le parachutage de six forces spéciales à l'aide d'un Atlantique 2. Cet appareil ne cesse d'acquérir de nouvelles capacités au fil du temps : au départ conçu pour la patrouille maritime, la chasse sous-marine et la lutte anti-surface, des améliorations et ajouts ont parmi d'ajouter la possibilité de larguer des bombes guidée laser GBU-12, faire de la guerre électronique et désormais une capacité de transport (légère) et de parachutage de forces spéciales.
Il y aussi l'aspect aéronaval : cette opération confirme que les forces spéciales françaises sont capables d'apponter sur un navire après un parachutage sous voile. Cela représente un énorme potentiel de projection car certaines opérations ont auparavant demandé un largage en mer, une récupération des opérateurs par les navires et ce, afin de pouvoir être redéployé sur l'objectif de la mission. Il y a donc un gain de temps, de moyens et un risque beaucoup plus faible pour les militaires. Enfin, c'est aussi une première pour le porte-avions : depuis son entrée en service, c'est la première fois que celui-ci voit apponter des chuteurs opérationnels de la Marine nationale.
Dans le cadre de la mission Scorpion, six commandos marine ont été parachuté depuis un Atlantique 2 de la Marine nationale. Ces derniers ont alors apponté sur le pont du porte-avions Charles de Gaulle, en pleine mer Méditerranée, pour ensuite se rééquiper et effectuer un assaut héliporté sur une frégate grecque. Cette mission représente deux grandes premières pour la Marine : le premier appontage de chuteurs opérationnels sur le pont d'envol du porte-avions et la capacité de l'Atlantique 2 à larguer des forces spéciales.
Les Forces armées françaises sont revenues sur cet exercice, baptisé Scorpion, et notamment grâce à une vidéo publiée le 30 novembre sur le compte Twitter de l'État-major des Armées.
Elle comporte 5 parties :
Cette opération est exceptionnelle pour deux raisons. Tout d'abord l'emport et le parachutage de six forces spéciales à l'aide d'un Atlantique 2. Cet appareil ne cesse d'acquérir de nouvelles capacités au fil du temps : au départ conçu pour la patrouille maritime, la chasse sous-marine et la lutte anti-surface, des améliorations et ajouts ont parmi d'ajouter la possibilité de larguer des bombes guidée laser GBU-12, faire de la guerre électronique et désormais une capacité de transport (légère) et de parachutage de forces spéciales.
Il y aussi l'aspect aéronaval : cette opération confirme que les forces spéciales françaises sont capables d'apponter sur un navire après un parachutage sous voile. Cela représente un énorme potentiel de projection car certaines opérations ont auparavant demandé un largage en mer, une récupération des opérateurs par les navires et ce, afin de pouvoir être redéployé sur l'objectif de la mission. Il y a donc un gain de temps, de moyens et un risque beaucoup plus faible pour les militaires. Enfin, c'est aussi une première pour le porte-avions : depuis son entrée en service, c'est la première fois que celui-ci voit apponter des chuteurs opérationnels de la Marine nationale.
Le 28 novembre, Air&Cosmos publiait déjà dans cet article les nombreuses interactions avec le porte-avions français Charles de Gaulle en mer Méditerranée. Parmi celles-ci, une opération comprenant des forces spéciales avait été effectuée depuis son pont d'envol. Elle consistait à projeter six commandos marine sur le Charles de Gaulle via le parachutage des opérateurs des forces spéciales depuis un avion de patrouille maritime Atlantique 2, le tout, en vue d'un assaut héliporté (depuis le porte-avions) sur une frégate grecque.
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