La revue critique également la stratégie d'acquisition de l'Australie, estimant qu'elle est trop lente pour fournir les capacités nécessaires aux forces armées.
L'Australie développe une stratégie de défense axée sur le déni d'accès et le refus de zone, incluant des missiles à longue portée pour contrer les incursions ennemies. Cette décision est influencée par l'expansion militaire chinoise, qui atteint des niveaux sans précédent depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
La Force de défense australienne (ADF) abandonne l'ancien modèle de force équilibrée et la doctrine de la "Défense de l'Australie" pour adopter une stratégie de déni. Ce changement vise à empêcher un adversaire d'exercer une contrainte militaire sur l'Australie et d'opérer contre elle sans risque.
Parmi les priorités figurent l'acquisition de sous-marins nucléaires dans le cadre de l'accord AUKUS et le développement de capacités de frappe à longue portée. Une révision supplémentaire de la flotte de navires de combat de surface est également prévue. En revanche, l'armée verra la réduction de ses acquisitions de véhicules de combat d'infanterie et l'annulation d'un deuxième lot d'obusiers automoteurs Hanwha. Néanmoins, l'armée bénéficiera de missiles à longue portée et de véhicules de débarquement pour renforcer ses opérations littorales.
La revue souligne les lacunes des processus d'acquisition de l'ADF et appelle à leur rationalisation. Le ministre de la Défense, Richard Marles, plaide pour une approche plus agile et rapide. Par ailleurs, la revue aborde les implications du changement climatique sur la défense, sans pour autant préconiser une mobilisation substantielle de l'ADF pour l'aide humanitaire et les secours en cas de catastrophe.
La revue critique également la stratégie d'acquisition de l'Australie, estimant qu'elle est trop lente pour fournir les capacités nécessaires aux forces armées.
L'Australie développe une stratégie de défense axée sur le déni d'accès et le refus de zone, incluant des missiles à longue portée pour contrer les incursions ennemies. Cette décision est influencée par l'expansion militaire chinoise, qui atteint des niveaux sans précédent depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
La Force de défense australienne (ADF) abandonne l'ancien modèle de force équilibrée et la doctrine de la "Défense de l'Australie" pour adopter une stratégie de déni. Ce changement vise à empêcher un adversaire d'exercer une contrainte militaire sur l'Australie et d'opérer contre elle sans risque.
Parmi les priorités figurent l'acquisition de sous-marins nucléaires dans le cadre de l'accord AUKUS et le développement de capacités de frappe à longue portée. Une révision supplémentaire de la flotte de navires de combat de surface est également prévue. En revanche, l'armée verra la réduction de ses acquisitions de véhicules de combat d'infanterie et l'annulation d'un deuxième lot d'obusiers automoteurs Hanwha. Néanmoins, l'armée bénéficiera de missiles à longue portée et de véhicules de débarquement pour renforcer ses opérations littorales.
La revue souligne les lacunes des processus d'acquisition de l'ADF et appelle à leur rationalisation. Le ministre de la Défense, Richard Marles, plaide pour une approche plus agile et rapide. Par ailleurs, la revue aborde les implications du changement climatique sur la défense, sans pour autant préconiser une mobilisation substantielle de l'ADF pour l'aide humanitaire et les secours en cas de catastrophe.
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