Les forces spéciales américaines utilisent le drone Stalker depuis 2006 mais celui-ci n'a qu'un seul défaut : son autonomie. Lockheed Martin vient d'annoncer un essai en condition réelle de la version améliorée de ce drone, tout en effectuant au passage un record d'endurance.
Conçu par Lockheed Martin, il s'agit d'un drone léger de catégorie 2 (5 à 25 kg). Il est propulsé par un moteur au propane mais peut aussi utiliser un moteur électrique. Il peut être lancé grâce à un rail, un élastique ou même décoller tout seul via l'ajout d'un kit de décollage et atterrissage vertical (VTOL). Il peut emporter environ 5 kg de matériels lui permettant d'être déployé pour des missions de reconnaissance de jour comme de nuit, de désigner des cibles laser ou encore de transporter des petites cargaisons. Il peut emporter une caméra spécifique en fonction de la mission mais elles sont toutes stabilisées et peuvent suivre automatiquement une cible sans que le pilote ne doive effectuer des changements. Il peut voler jusqu'à 15.000 pieds d'altitude. Sa récupération s'effectue par un vol plané suivi d'un atterrissage ou par un atterrissage vertical si le kit VTOL est monté.
Dans un communiqué de presse publié récemment, Lockheed annonçait avoir effectué un vol de 39 heures, 17 minutes et 7 secondes. Il n'y a pas encore eu de certification officielle de la part de la Fédération Aéronautique Internationale mais il semblerait qu'il s'agisse du plus long vol pour un drone de cette catégorie.
Les forces spéciales américaines utilisent déjà la première version du drone Stalker depuis au moins 2006. Les retours de terrain étaient très positifs hormis sur l'autonomie du drone, expliquant le développement du Stalker Extended Endurance (XE). L'augmentation de l'endurance n'a pas altéré le caractère léger du drone car il ne pèse qu'à pleine charge un maximum de 30 kg : il peut être monté par une seule personne et tient dans deux caisses transportables dans un véhicule léger. De même, un seul pilote est nécessaire pour faire voler ce drone. Ce dernier peut utiliser trois antennes différentes en fonction des besoins de distance (courte, moyenne ou longue portée) car son autonomie est de 370 km.
Les forces spéciales américaines utilisent le drone Stalker depuis 2006 mais celui-ci n'a qu'un seul défaut : son autonomie. Lockheed Martin vient d'annoncer un essai en condition réelle de la version améliorée de ce drone, tout en effectuant au passage un record d'endurance.
Conçu par Lockheed Martin, il s'agit d'un drone léger de catégorie 2 (5 à 25 kg). Il est propulsé par un moteur au propane mais peut aussi utiliser un moteur électrique. Il peut être lancé grâce à un rail, un élastique ou même décoller tout seul via l'ajout d'un kit de décollage et atterrissage vertical (VTOL). Il peut emporter environ 5 kg de matériels lui permettant d'être déployé pour des missions de reconnaissance de jour comme de nuit, de désigner des cibles laser ou encore de transporter des petites cargaisons. Il peut emporter une caméra spécifique en fonction de la mission mais elles sont toutes stabilisées et peuvent suivre automatiquement une cible sans que le pilote ne doive effectuer des changements. Il peut voler jusqu'à 15.000 pieds d'altitude. Sa récupération s'effectue par un vol plané suivi d'un atterrissage ou par un atterrissage vertical si le kit VTOL est monté.
Dans un communiqué de presse publié récemment, Lockheed annonçait avoir effectué un vol de 39 heures, 17 minutes et 7 secondes. Il n'y a pas encore eu de certification officielle de la part de la Fédération Aéronautique Internationale mais il semblerait qu'il s'agisse du plus long vol pour un drone de cette catégorie.
Les forces spéciales américaines utilisent déjà la première version du drone Stalker depuis au moins 2006. Les retours de terrain étaient très positifs hormis sur l'autonomie du drone, expliquant le développement du Stalker Extended Endurance (XE). L'augmentation de l'endurance n'a pas altéré le caractère léger du drone car il ne pèse qu'à pleine charge un maximum de 30 kg : il peut être monté par une seule personne et tient dans deux caisses transportables dans un véhicule léger. De même, un seul pilote est nécessaire pour faire voler ce drone. Ce dernier peut utiliser trois antennes différentes en fonction des besoins de distance (courte, moyenne ou longue portée) car son autonomie est de 370 km.
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