MacaFlight vient de présenter au Dubaï Airshow la première voiture de course volante fonctionnant à l'hydrogène. Une innovation qui permet d’envisager des grands prix novateurs et écoresponsables au Moyen-Orient, terre d’innovation ou la France a son mot à dire.
De l’ambition et de la passion, Christian Pinot, le PDG de MacaFlight, n’en manque pas et pour lui, c’est certain, la formule 1 volante sera française.
Un projet d’aviation décarbonée né en France
L'histoire de MacaFlight remonte à un project d'hydrogène chez Airbus hélicoptère, lancé en 2020. Malgré les défis liés à la pandémie, l'équipe a persévéré et est devenue une spin-off en novembre 2020. Christian Pinot, actuel PDG, a souligné l'intérêt croissant d'Airbus pour l'hydrogène, motivant ainsi le lancement de ce projet novateur.
Actuellement, MacaFlight se trouve dans la phase T3 de développement, avec un démonstrateur à l'échelle 1/3. Un démonstrateur à l'échelle réelle, embarquant un pilote, devrait être prêt d'ici la fin de l'année ou le début de l'année suivante. En clair, tout est dans les mains des investisseurs.
Un intérêt certain de la part des promoteurs de sports extrêmes
Avec un calendrier ambitieux, MacaFlight prévoit d'intégrer l'hydrogène dans son prototype d'ici la fin de 2024, en vue du lancement d'un championnat dédié aux voitures volantes en 2025. Les partenaires de renom tels que Red Bull Advanced Technology, Segula Technologies et Cavok Engineering renforcent la position de MacaFlight dans le domaine de l’aéromobilité innovante.
L’innovation de MacaFlight a suscité un grand intérêt au salon de Dubaï, incitant les organisateurs à inviter la start-up à revenir en 2025 avec une démonstration complète sur un circuit adapté aux voitures volantes.
Une F1 pour des pilotes avertis
En ce qui concerne la question de l’accessibilité, Christian Pinot a souligné que la voiture volante de MacaFlight nécessite un pilote d'hélicoptère chevronné, avec une préférence pour les anciens militaires spécialisés dans le vol à basse altitude et à haute vitesse.
Il va donc y avoir du sport !
MacaFlight vient de présenter au Dubaï Airshow la première voiture de course volante fonctionnant à l'hydrogène. Une innovation qui permet d’envisager des grands prix novateurs et écoresponsables au Moyen-Orient, terre d’innovation ou la France a son mot à dire.
De l’ambition et de la passion, Christian Pinot, le PDG de MacaFlight, n’en manque pas et pour lui, c’est certain, la formule 1 volante sera française.
Un projet d’aviation décarbonée né en France
L'histoire de MacaFlight remonte à un project d'hydrogène chez Airbus hélicoptère, lancé en 2020. Malgré les défis liés à la pandémie, l'équipe a persévéré et est devenue une spin-off en novembre 2020. Christian Pinot, actuel PDG, a souligné l'intérêt croissant d'Airbus pour l'hydrogène, motivant ainsi le lancement de ce projet novateur.
Actuellement, MacaFlight se trouve dans la phase T3 de développement, avec un démonstrateur à l'échelle 1/3. Un démonstrateur à l'échelle réelle, embarquant un pilote, devrait être prêt d'ici la fin de l'année ou le début de l'année suivante. En clair, tout est dans les mains des investisseurs.
Un intérêt certain de la part des promoteurs de sports extrêmes
Avec un calendrier ambitieux, MacaFlight prévoit d'intégrer l'hydrogène dans son prototype d'ici la fin de 2024, en vue du lancement d'un championnat dédié aux voitures volantes en 2025. Les partenaires de renom tels que Red Bull Advanced Technology, Segula Technologies et Cavok Engineering renforcent la position de MacaFlight dans le domaine de l’aéromobilité innovante.
L’innovation de MacaFlight a suscité un grand intérêt au salon de Dubaï, incitant les organisateurs à inviter la start-up à revenir en 2025 avec une démonstration complète sur un circuit adapté aux voitures volantes.
Une F1 pour des pilotes avertis
En ce qui concerne la question de l’accessibilité, Christian Pinot a souligné que la voiture volante de MacaFlight nécessite un pilote d'hélicoptère chevronné, avec une préférence pour les anciens militaires spécialisés dans le vol à basse altitude et à haute vitesse.
Il va donc y avoir du sport !
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