Le 22 mars, un F-22 Raptor a effectué une sortie de piste alors qu'il atterrissait sur la base d'Eglin. Il semblerait qu'une partie du train d'atterrissage se soit effondrée pour des raisons encore inconnues. Le Raptor étant un avion furtif très avancé, il ne faut pas s'attendre à revoir cet appareil redécoller avant plusieurs années de réparations lentes et coûteuses.
Le 22 mars, un chasseur de supériorité aérienne furtif F-22 Raptor s'est crashé sur la base aérienne d'Eglin (Floride, États-Unis). L'avion revenait d'une mission d'entrainement et pour une raison encore inconnue, le train d'atterrissage s'est effondré, peu avant 10h30 du matin, heure locale. Le pilote est sorti indemne de ce crash. L'avion fait partie du 325ème escadron.
La piste 19 de la base a été fermée durant les opérations de secours. Une enquête a été ouverte par l'Armée de l'air américaine pour analyser les causes de cet incident.
Il y a presque un an jour pour jour, le 15 mars 2021, un F-22 se couchait sur le nez après que son train avant s'était effondré. L'avion faisait lui aussi partie du 325ème escadron de chasse (basé temporairement sur la base d'Eglin).
Un autre incident, datant du 31 mai 2012 donne une idée plus précise du temps alloué pour réparer un F-22 "légèrement" endommagé : le Raptor venait de faire un touch-and-go mais n'a pas pu reprendre de l'altitude. Le F-22 a alors effectué un atterrissage d'urgence sur le ventre, avec son train d'atterrissage rentré. L'USAF a décidé de réparer l'avion, moyennant un coût estimé à 35 millions de dollars (un F-22 coûtait environ 201 millions de dollars en 2020). L'appareil a donc été transféré dans un atelier de réparation où sa structure a pu être analysée. Il a fallut enlever les pièces défectueuses (toute la partie ventrale au centre et à l'arrière du fuselage, en ce compris les portes de la soute), enlever la peinture pour en remettre une nouvelle, etc. Le coût final de cette réparation n'est pas connu. En octobre 2019, soit 7 ans après le crash, l'avion était en phase d'essai en vol en vue de reprendre du service actif.
Le 22 mars, un F-22 Raptor a effectué une sortie de piste alors qu'il atterrissait sur la base d'Eglin. Il semblerait qu'une partie du train d'atterrissage se soit effondrée pour des raisons encore inconnues. Le Raptor étant un avion furtif très avancé, il ne faut pas s'attendre à revoir cet appareil redécoller avant plusieurs années de réparations lentes et coûteuses.
Il y a presque un an jour pour jour, le 15 mars 2021, un F-22 se couchait sur le nez après que son train avant s'était effondré. L'avion faisait lui aussi partie du 325ème escadron de chasse (basé temporairement sur la base d'Eglin).
Un autre incident, datant du 31 mai 2012 donne une idée plus précise du temps alloué pour réparer un F-22 "légèrement" endommagé : le Raptor venait de faire un touch-and-go mais n'a pas pu reprendre de l'altitude. Le F-22 a alors effectué un atterrissage d'urgence sur le ventre, avec son train d'atterrissage rentré. L'USAF a décidé de réparer l'avion, moyennant un coût estimé à 35 millions de dollars (un F-22 coûtait environ 201 millions de dollars en 2020). L'appareil a donc été transféré dans un atelier de réparation où sa structure a pu être analysée. Il a fallut enlever les pièces défectueuses (toute la partie ventrale au centre et à l'arrière du fuselage, en ce compris les portes de la soute), enlever la peinture pour en remettre une nouvelle, etc. Le coût final de cette réparation n'est pas connu. En octobre 2019, soit 7 ans après le crash, l'avion était en phase d'essai en vol en vue de reprendre du service actif.
L'essentiel est que le pilote soit sauf.
Le 22 mars, un chasseur de supériorité aérienne furtif F-22 Raptor s'est crashé sur la base aérienne d'Eglin (Floride, États-Unis). L'avion revenait d'une mission d'entrainement et pour une raison encore inconnue, le train d'atterrissage s'est effondré, peu avant 10h30 du matin, heure locale. Le pilote est sorti indemne de ce crash. L'avion fait partie du 325ème escadron.
La piste 19 de la base a été fermée durant les opérations de secours. Une enquête a été ouverte par l'Armée de l'air américaine pour analyser les causes de cet incident.
@auteur. Merci pour cet article très bien documenté qui rappelle une fois encore qu’en aéronautique le plus dangereux c’est le retour au sol...
Selon le formulaire numéro 1 de l’armée de l’AE française, ce serait dû à une erreur de pilotage...
Je trouve pitoyable l'humour douteux qui vient en commentaire de cet accident. Malheureusement, et quelque soit l'avion, une fiabilité de 100 % n'existe pas. ... Encore une fois et fort heureusement, le pilote est sauf. plus
Bonsoir, Un petit rappel : L' Âne Osset, ou le P'tit Etienne, est en fait un humoriste belge, qui, rejeté par ses pairs, s'est réfugié ... sur un site français aéronautique, et se complet à raconter des conneries, comme l'histoire récente des 4 SNLE français, tous en mer, qu'il s'est permis de REconfirmer contre vents et marées selon ....ses Open Source !!!! Alors le P'tit Etienne, il ne faut pas le prendre au séreux, comme ses commentaires, toujours teintés d'ironie anti-française. ll faut juste lui laisser croire qu'il est drôle et intelligent, afin de le garder sur ce site et continuer à RIRE 😂 !!!! plus
L'essentiel est que le pilote soit sauf.