La force aérienne finlande sera le neuvième utilisateur du F-35, faisant de l'appareil de Lockheed Martin le chasseur le plus répandu en Europe.
La flotte de l'armée de l'air finlandaise a largement évolué dans les dernières décennies : après un parc mixte de Mig-21 soviétiques et de Saab 35 Draken (la Finlande n'étant officiellement alignée sur aucun des blocs de la Guerre Froide), le pays a réceptionné 64 F/A-18C et D entre 1998 et 2000 dont le retrait doit avoir lieu à horizon 2030.
C'est dans ce cadre que le programme HX d'acquisition d'un nouvel avion de chasse multimission a été initié en 201 pour l'armée de l'air finlandaise, avec un budget qui ne doit pas dépasser 10 milliards d'euros pour l'acquisition d'environ 64 appareils, hors frais de développements ultérieurs et maintenance.
L'appareil choisi devra être capable de conduire des assauts sur terre et mer, protéger le pays contre des intrusions aériennes, être capable de s'intégrer aux systèmes d'armes du pays et doit posséder des capacités de guerre électronique (GE) offensive. Cinq avionneurs répondent aux exigences du pays :
- Boeing avec un binôme de 50 F/A-18 E/F Super Hornet et 14 EA-18G Growler dédiés à la GE,
- Lockheed Martin avec le F-35A,
- l'Eurofighter Typhoon dans sa Tranche 4, d'Airbus Defense & Space,
- une combinaison de 64 Saab JAS 39 Gripen E/F associé à 2 avions GlobalEye de GE,
- le Rafle de Dassault au Standard F4.
Une compétition largement ouverte donc, avec des évaluations conduites dans le pays entre le 9 janvier et le 26 février 2020.
Lockheed veut réaliser une démonstration de force et décide donc d'envoyer quatre appareils pour participer aux évaluations, contre deux avions demandés par les organisateurs et déployés par les autres compétiteurs. Pour des raisons logistiques, seuls deux F-35 réussissent à rejoindre la Finlande, et seul un des appareils est pleinement opérationnel, le deuxième n'arrivant à réaliser que 60% du programme de vol. Le froid provoque un défaut logiciel interdisant le démarrage de l'avion, les batteries apparaissant (à tort) comme déchargées. Aux yeux de nombreux observateurs, le F-35 est alors pour ainsi dire éliminé.
Trois avions se démarquent clairement : le Rafale, le Typhoon, et le F/A-18, et les médias locaux précisent que les offres de Dassault et de Boeing ont plus particulièrement retenu l'attention du jury. La plupart des observateurs estiment alors que le F/A-18 serait l'avion choisi par la Finlande, à la fois grâce à la forte capacité de GE du Growler qui lui est associé, mais aussi pour de simples raisons diplomatiques : la puissance américaine pèse davantage que la simple acquisition d'avions de chasse s'il fallait se protéger contre un retour actif de la Russie dans la zone.
Des propositions financières détaillant également les équipements proposés ont été fournies à l'automne, puis un ultime wargame permettra de départager les meilleures offres.
Le détail des propositions n'est en général pas communiqué, mais Lockheed Martin en a au contraire révélé de larges parts : des créations d'emploi de haute technicité en Finlande pendant au moins 20 ans, la création d'une ligne d'assemblage pour le moteur directement en Finlande, des partenariats avec des universités et une collaboration avancée de sécurité, mais aussi une garantie sur le coût opérationnel. A tel point que le F-35 permettrait de réaliser un nombre d'heures de vol égal aux opérations réalisées par la flotte actuelle de chasseurs tout en restant dans l'enveloppe de 250 millions d'euros par an.
Sachant que Lockheed espère abaisser le coût d'exploitation de l'avion à "seulement" 30.000 $/ heure de vol en 2023 puis 25.000$ en 2025 (un objectif jugé irréaliste à l'US Air Force), cela n'offrirait qu'un petit 10.000 heures de vol par an à réaliser la future flotte de F-35, soit moins de 150 heures par an et par avion. Pour comparaison, les Rafales français assurent plus de 270 heures de vol par an, une baisse drastique du coût horaire du F-35 ...
Les résultats confirmés le 10 décembre par le gouvernement finlandais désignent finalement le F-35 vainqueur de la compétition, une semi-surprise vu les premières fuites dans les médias et l'activisme américain des dernières semaines... Côté scores, le F-35 obtient une note de 4.47, loin devant la deuxième meilleure offre (dont le nom n'a pas été révélé) à seulement 3.81.
Le contrat portera donc sur une acquisition de 8,378 milliards d'euros, dont 4,7 milliards pour les avions, 754,6 millions pour le package d'armement initial (comprenant des missiles AMRAAM et Sidewinder, et 2,9 milliards d'euros pour les équipements complémentaires, l'achat de pièces détachées, la formation des pilotes, et les solutions de maintenance jusqu'à la fin de l'année 2030.
Après les commandes du Danemark, de la Norvège, des Pays-Bas, de la Belgique, de la Grande-Bretagne, de l'Italie, de la Suisse et de la Pologne, le F-35 sera donc l'avion le plus utilisé par les forces aériennes européennes en 2030, devant l'Eurofighter, le Rafale ou le Gripen.
La force aérienne finlande sera le neuvième utilisateur du F-35, faisant de l'appareil de Lockheed Martin le chasseur le plus répandu en Europe.
La flotte de l'armée de l'air finlandaise a largement évolué dans les dernières décennies : après un parc mixte de Mig-21 soviétiques et de Saab 35 Draken (la Finlande n'étant officiellement alignée sur aucun des blocs de la Guerre Froide), le pays a réceptionné 64 F/A-18C et D entre 1998 et 2000 dont le retrait doit avoir lieu à horizon 2030.
C'est dans ce cadre que le programme HX d'acquisition d'un nouvel avion de chasse multimission a été initié en 201 pour l'armée de l'air finlandaise, avec un budget qui ne doit pas dépasser 10 milliards d'euros pour l'acquisition d'environ 64 appareils, hors frais de développements ultérieurs et maintenance.
L'appareil choisi devra être capable de conduire des assauts sur terre et mer, protéger le pays contre des intrusions aériennes, être capable de s'intégrer aux systèmes d'armes du pays et doit posséder des capacités de guerre électronique (GE) offensive. Cinq avionneurs répondent aux exigences du pays :
- Boeing avec un binôme de 50 F/A-18 E/F Super Hornet et 14 EA-18G Growler dédiés à la GE,
- Lockheed Martin avec le F-35A,
- l'Eurofighter Typhoon dans sa Tranche 4, d'Airbus Defense & Space,
- une combinaison de 64 Saab JAS 39 Gripen E/F associé à 2 avions GlobalEye de GE,
- le Rafle de Dassault au Standard F4.
Une compétition largement ouverte donc, avec des évaluations conduites dans le pays entre le 9 janvier et le 26 février 2020.
Inoui! La Finlande achète le F35. Quelle surprise !
Lockheed veut réaliser une démonstration de force et décide donc d'envoyer quatre appareils pour participer aux évaluations, contre deux avions demandés par les organisateurs et déployés par les autres compétiteurs. Pour des raisons logistiques, seuls deux F-35 réussissent à rejoindre la Finlande, et seul un des appareils est pleinement opérationnel, le deuxième n'arrivant à réaliser que 60% du programme de vol. Le froid provoque un défaut logiciel interdisant le démarrage de l'avion, les batteries apparaissant (à tort) comme déchargées. Aux yeux de nombreux observateurs, le F-35 est alors pour ainsi dire éliminé.
Trois avions se démarquent clairement : le Rafale, le Typhoon, et le F/A-18, et les médias locaux précisent que les offres de Dassault et de Boeing ont plus particulièrement retenu l'attention du jury. La plupart des observateurs estiment alors que le F/A-18 serait l'avion choisi par la Finlande, à la fois grâce à la forte capacité de GE du Growler qui lui est associé, mais aussi pour de simples raisons diplomatiques : la puissance américaine pèse davantage que la simple acquisition d'avions de chasse s'il fallait se protéger contre un retour actif de la Russie dans la zone.
Des propositions financières détaillant également les équipements proposés ont été fournies à l'automne, puis un ultime wargame permettra de départager les meilleures offres.
Le détail des propositions n'est en général pas communiqué, mais Lockheed Martin en a au contraire révélé de larges parts : des créations d'emploi de haute technicité en Finlande pendant au moins 20 ans, la création d'une ligne d'assemblage pour le moteur directement en Finlande, des partenariats avec des universités et une collaboration avancée de sécurité, mais aussi une garantie sur le coût opérationnel. A tel point que le F-35 permettrait de réaliser un nombre d'heures de vol égal aux opérations réalisées par la flotte actuelle de chasseurs tout en restant dans l'enveloppe de 250 millions d'euros par an.
Sachant que Lockheed espère abaisser le coût d'exploitation de l'avion à "seulement" 30.000 $/ heure de vol en 2023 puis 25.000$ en 2025 (un objectif jugé irréaliste à l'US Air Force), cela n'offrirait qu'un petit 10.000 heures de vol par an à réaliser la future flotte de F-35, soit moins de 150 heures par an et par avion. Pour comparaison, les Rafales français assurent plus de 270 heures de vol par an, une baisse drastique du coût horaire du F-35 ...
Les résultats confirmés le 10 décembre par le gouvernement finlandais désignent finalement le F-35 vainqueur de la compétition, une semi-surprise vu les premières fuites dans les médias et l'activisme américain des dernières semaines... Côté scores, le F-35 obtient une note de 4.47, loin devant la deuxième meilleure offre (dont le nom n'a pas été révélé) à seulement 3.81.
Le contrat portera donc sur une acquisition de 8,378 milliards d'euros, dont 4,7 milliards pour les avions, 754,6 millions pour le package d'armement initial (comprenant des missiles AMRAAM et Sidewinder, et 2,9 milliards d'euros pour les équipements complémentaires, l'achat de pièces détachées, la formation des pilotes, et les solutions de maintenance jusqu'à la fin de l'année 2030.
Après les commandes du Danemark, de la Norvège, des Pays-Bas, de la Belgique, de la Grande-Bretagne, de l'Italie, de la Suisse et de la Pologne, le F-35 sera donc l'avion le plus utilisé par les forces aériennes européennes en 2030, devant l'Eurofighter, le Rafale ou le Gripen.
Au moins on connaîtra nos adversaires en cas de conflit européen, ceux qui préfèrent se mettre sous la coupe des Américains par peur de ... conflits et non construire l'Europe avec une armée forte, bien triste constat. plus
Au moins, là, pour le coup, absolument personne ne s'attendait à ce que la Finlande achète français, donc pas de déception.
J'oubliais, concernant la photo : il vraiment superbe, le Rafale, dans ce cadre enneigé et avec cette lumière !
Ce qui se répète, c'est le choix d'il y a quelques décennies pour le F18. Ce n'était pas l'avion qui était choisi mais loe ... paparpluie américain, comme maintenant. plus
Quand l'Europe préfère se mettre sous le protection des USA plutôt que construire son propre chasseur voilà ce qui arrive, ces pays dit européen ... achètent un chasseur qui ne fonctionne pas, le F35 ne vole pratiquement pas aux US car peu fiable et trop cher à l'heure de vol, notre Rafale supérieur à tout point est loin d'être fini.... plus
Au moins on connaîtra nos adversaires en cas de conflit européen, ceux qui préfèrent se mettre sous la coupe des Américains par peur de ... conflits et non construire l'Europe avec une armée forte, bien triste constat. plus
Un long article pour au final la même conclusion: l'enveloppe la plus épaisse a obtenue la meilleur note
Un grand merci aux finlandais pour avoir choisi un avion US plutôt qu'europeen. Mon téléphone est un NOKIA, mais c'était la dernière fois que j'en ... achète un. Tous les états qui achètent US me dégoûtent,c'est ça l'Europe ??? Vivement le frexit, de toutes façons on est tout seul FCg plus
Allez hop manque plus que les Allemands et les Espagnols (ça va pas tarder) et le compte serae bon. On pourra passer aux choses sérieuses ... et développer le scaf tranquille de notre côté plus
On va bien rigoler quand, dans une paire d'années, une fois toutes les ventes possibles engrangées, les usa décideront d'arrêter tout développement sur ce ... mauvais avion pour le remplacer par un nouveau plus fiable et polyvalent, déjà à l'étude. Les cocus voleront alors en escadrille. plus
Si vous lisez les décisions du congrès américain, la décision que vous évoquez a déjà quasiment été prise : réduction drastique du nombre de ... F35 commandé au bénéfice de commande de F15EX et de F18block3, et du développement accéléré d'un appareil dit 6G. Mais ne soyez pas étonné si le moment venu, si aucun désastre n'est venu entre temps "balayer" l'Europe, les mêmes "acheteurs" du F35 achètent du 6G made in USA quelqu'il soit plus
Concernant la rubrique "des résultats encore incomplets": Le Site Avia News précise: 1. F-35A = 4,47 2. Super Hornet & Gripen E = 3,81 Pour les 3 & ... 4ème places, elles sont tenues par le Rafale et l’Eurofighter. Les avionneurs ayant refusés la divulgation exacte des résultats. plus
En fait c'est un supplément d'information, venant d'un intervenant sous le pseudonyme de PAK: "Pour être plus précis le Rafale et le Typhoon n'ont pas ... été évalués car ils ont obtenus chacun une note éliminatoire dans l'un des 3 critères suivants: life cycle costs, security of supply, and industrial cooperation" plus
Il faut bien préciser qu'Avia News n'est pas un site d'information (comme Air et cosmos par exemple) mais un blog, c'est à dire un ... site d'échange (les anglo-saxons disent un site d'humeur). Je suis allé sur ce blog lire la prose du 10 décembre consacrée au "choix" du F35 par la Finlande. Pour résumer, on peut lire que le F35 est quasiment parfait. Je vous invite humblement à méditer cette phrase de Talleyrand qui disait : "Tout ce qui est excessif est insignifiant. Bien cordialement plus
Petrau: Cher ami, vous prêchez pour un convaincu, j'ai simplement voulu apporter un complément "d'information" à ce site...
Le choix du F35 (et ses plus de 800 points de non conformités non traités à date), cela se nomme tout simplement la Pax ... Americana. On lutte difficilement contre des empires…. plus
@foret10. Je n'ai pas voulu vous blesser, simplement ramener à sa juste (peu) de valeur un blog qui n'est rien de plus qu'un blog.
Les alliés européens achètent us et les arabes, français. Et l'autre Macron qui assurent à ses voisins la couverture nucléaire français sans que ça ... leur coûte un kopec. Qu'ils aillent de faire voir. Quittons l'OTAN, protégeons nos fromages qui puent d'après les ricains. Les autres, au diable. plus
Vous seriez sympa de citer UN pays qui compte sur la protection nucléaire low cost de la France ??? J’ai beau chercher je n’en ... connais pas. Par contre, ce que je sais c’est que c’est sur la base militaire belge de Kleine Brogel que se trouve une partie de l’arsenal nucléaire américain. plus
Ainsi donc, le prochain acheteur du F35 sera l'Allemagne. Et ceci sans qu'elle est le choix. Je m'explique : aux Usa, la National Nuclear ... Security Administration vient de retirer discrètement de la liste des appareils devant être "upgrades" pour emporter la dernière version de la bombe nucléaire B61, la B61-12, le F18F. C'est ce F18F qui avait été choisi (sans être encore commandé) par l'Allemagne pour remplacer en partie ses Tornado, sachant que l'Allemagne dans le cadre de ses obligations de l'Otan est engagée à déployer des avions à même de transporter ces bombes américaines (c'est un vieux reste de la guerre froide), ce que faisaient les Tornados. Évidemment, le F35 sera upgrade en conséquence. L'Allemagne commandera donc "en toute indépendance" des F35. Ce qui signifie la fin probable du Scaf Est ce grave ? Je ne le pense pas. Ce sera l'occasion, tout en poursuivant la mise au point de briques technologiques pertinentes, de redéfinir le projet en écartant les contraintes onéreuses de la furtivite dont on sait maintenant l'inutilité, en réfléchissant bien à l'utilité d'une version navale (ce qui revient à posée la question de l'utilité d'un porte-avions utilisable à mi-temps) . Le tout débarrassé des surcouts inhérents à la coopération (surcouts liés a la multiplication des spécifications et à la duplication des fabrications,...). Évidemment, la maîtrise d'œuvre serait confiée à Dassault dont la compétence est incontestable. Dans un 2e temps, le projet pourrait être ouvert à d'autres partenaires sous un processus identique à celui qui avait conduit à la réalisation très réussie et dans le respect des coûts du Neuron plus
Patience, mes amis. Patience. Lorsque les US auront entamé les grandes manœuvres face à la Chine et que l'essentiel de leur potentiel sera tourné ... vers l'Ouest, Vladimir réchauffera le plat ukrainien pour pouvoir le manger bien chaud. Un simple petit événement qui va déstabiliser l'Europe de l'Ouest et lui faire comprendre qu'elle doit s'assumer seule. Les nations européennes ont presque toutes été biberonnées à la culture d'empire, culture qui a laissé subsister l'arrière goût de la défiance. La confiance authentique est difficile (impossible) à rétablir. Il reste des stigmates un peu partout en Europe qui ne sont toujours pas résorbés, y compris et surtout dans nos têtes et nos cœurs. Tant que les Européens refuseront d'instaurer, enfin, la pratique sincère et désintéressée de la confiance, toute perspective d'avenir européen nous est interdite. Sans vrais amis, on échange peu... plus
Je partage votre avis selon lequel l'Europe doit assumer sa sécurité elle-même. L'OTAN est une officine d'obédience américaine dont la création remonte à la ... guerre froide et qui ne sert plus que de super-marché à nos amis américains pour vendre sans contrepartie de sécurité leur matériel militaire (le plus bel exemple est le F35). Pour ceux qui croient contre toute évidence que les forces US seraient engagées en cas d'agression en Europe, je les invite à méditer ce qui suit. Lorsque l'URSS a été dementelee, l'Ukraine a accepté de transférer en Russie afin de dementelement son substantiel arsenal nucléaire, en échange d'une contrepartie de sécurité à laquelle s'étaient engagés les USA et l'Angleterre (cette dernière pour mémoire vu son asservissement aux États-Unis). Aujourd'hui que l'Ukraine est l'objet de menaces, les américains ont annoncé d'emblée qu'en aucun cas ils n'interviendraient militairement, se contentant de vagues menaces économiques. Il faut aussi avoir en tête que la "plus puissante armée du monde", bardée de technologie avancée s'est fait éjecter d'Afghanistan par une armée de fantassins équipés essentiellement de Kalachnikov et de lance roquettes. Alors oui, les Européens doivent se défendre eux-mêmes. Mais, au delà des ranqueurs qui peuvent être surmontées, cela suppose à minima une organisation confédérale, l'indispensable unité de commandement militaire étant subordonnée à une unité politique. Ce n'est pas pour demain. En attendant, je suis de ceux qui pensent que l'arme nucléaire, qui est celle d'un État et qui ne peut servir à la défense d'un autre pays, fut il ami, a toute sa justification. La France a tout intérêt à poursuivre dans cette voie en renforçant ses capacités nucléaires. plus
Inoui! La Finlande achète le F35. Quelle surprise !