L’administration Trump n’avait pas souhaité intégrer le groupe d'agences spatiales et d'organisations internationales, créé fin 2017 pour étudier et surveiller depuis l’espace les impacts du changement climatique.
Des expériences françaises seront intégrées à bord de la deuxième mission chinoise de récolte d’échantillons lunaires, en 2023-2024.
L’initiative lancée par le Cnes il y a six mois prend forme.
Quelques mois après le lancement des Spoutnik soviétiques d’octobre et de novembre 1957, les Etats-Unis réussissaient à leur tour à placer sur orbite leur premier satellite, après bien des aléas.
A la veille du sommet One Planet, 25 chefs d'agences spatiales à travers le monde se sont réunis au Cnes. Ils ont validé la création d'un observatoire destiné à mutualiser les données spatiales portant sur l’étude du climat.