L’un est en contrat avec la Nasa, l’autre avec l’ESA. Les deux entreprises ont annoncé le 11 décembre une collaboration pour garantir l’interopérabilité entre leurs deux futurs réseaux satellites lunaires.
En attendant la très hypothétique décision de lancer son propre programme de vols habités, l’ESA poursuit ses engagements dans le programme lunaire de la Nasa, dont elle est le principal partenaire.