Depuis 2019, l'Aéronavale de l'Argentine détient cinq Super-Étendard Modernisé de seconde main. Cependant, ces avions ne sont toujours pas réactivés et sont d'ailleurs cloués au sol. La cause de cette décision s'explique par la politique étrangère du Royaume-Uni envers l'Argentine.
En 2017, le COmando de Aviación Naval (COAN) - ou Aéronavale argentine - commandait 5 Super Étendard Modernisés (SEM) de seconde main à la France pour un total de 12,6 millions d'euros. Des pièces détachées et des moteurs avaient aussi été achetés (pour un montant estimé entre 1 et 2 millions d'euros). Ces pièces doivent permettre de remettre les avions en état de voler car depuis leur mise à la retraite, les SEM n'ont plus du tout été entretenus. Au vu de leur état, les cinq avions de combat ont été livrés par voie maritime et non par la voie des airs.
Cependant, les cinq appareils ne sont toujours pas repris dans la liste des avions utilisés par l'Argentine. Les cinq SEM seraient actuellement rangés non loin des autres Super-Étendard (SUE) de la COAN, livrés entre 1981 et 1982 mais qui ont également été interdit de vol suite au manque de pièces détachées. Les pièces détachées achetées à la France devaient aussi permettre de faire revoler une partie des SUE argentins. Cela implique donc qu'actuellement, l'Aéronavale ne dispose plus du tout d'avions de combat en service.
Il semblerait que la cause de cette mise à terre forcée s'explique par la politique du Royaume-Uni envers l'Argentine depuis la guerre des Falklands. En effet, depuis 1982, aucune livraison d'armes anglaises vers l'Argentine n'est autorisée. Or, il s'avère que ces avions, produits en France, sont équipés de sièges éjectables Martin Baker anglais ! L'Argentine avait tout de même décidé d'acheter les cinq avions tout en contournant le problème anglais : les autorités argentines étaient en discussion avec plusieurs entreprises afin de créer des cartouches équivalentes. Cependant, les discussions n'ont jamais permis d'établir un quelconque contrat. Ainsi donc, les Super-Étendard et Super-Étendard Modernisé argentins ne sont toujours pas prêt de reprendre leurs vols.
Depuis 2019, l'Aéronavale de l'Argentine détient cinq Super-Étendard Modernisé de seconde main. Cependant, ces avions ne sont toujours pas réactivés et sont d'ailleurs cloués au sol. La cause de cette décision s'explique par la politique étrangère du Royaume-Uni envers l'Argentine.
En 2017, le COmando de Aviación Naval (COAN) - ou Aéronavale argentine - commandait 5 Super Étendard Modernisés (SEM) de seconde main à la France pour un total de 12,6 millions d'euros. Des pièces détachées et des moteurs avaient aussi été achetés (pour un montant estimé entre 1 et 2 millions d'euros). Ces pièces doivent permettre de remettre les avions en état de voler car depuis leur mise à la retraite, les SEM n'ont plus du tout été entretenus. Au vu de leur état, les cinq avions de combat ont été livrés par voie maritime et non par la voie des airs.
Cependant, les cinq appareils ne sont toujours pas repris dans la liste des avions utilisés par l'Argentine. Les cinq SEM seraient actuellement rangés non loin des autres Super-Étendard (SUE) de la COAN, livrés entre 1981 et 1982 mais qui ont également été interdit de vol suite au manque de pièces détachées. Les pièces détachées achetées à la France devaient aussi permettre de faire revoler une partie des SUE argentins. Cela implique donc qu'actuellement, l'Aéronavale ne dispose plus du tout d'avions de combat en service.
Il semblerait que la cause de cette mise à terre forcée s'explique par la politique du Royaume-Uni envers l'Argentine depuis la guerre des Falklands. En effet, depuis 1982, aucune livraison d'armes anglaises vers l'Argentine n'est autorisée. Or, il s'avère que ces avions, produits en France, sont équipés de sièges éjectables Martin Baker anglais ! L'Argentine avait tout de même décidé d'acheter les cinq avions tout en contournant le problème anglais : les autorités argentines étaient en discussion avec plusieurs entreprises afin de créer des cartouches équivalentes. Cependant, les discussions n'ont jamais permis d'établir un quelconque contrat. Ainsi donc, les Super-Étendard et Super-Étendard Modernisé argentins ne sont toujours pas prêt de reprendre leurs vols.
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