Suite à l’annonce surprise de la venue à Kiev du président américain Joe Biden, la Russie annonça un test de son tout dernier missile intercontinental Sarmat aussi appelé “Satan II”.
Depuis les dernières annonces d’envoi de matériels occidentaux à destination de l’Ukraine (chars légers, véhicules de combat d’infanterie et chars lourds), la Russie ne se cache pas de vouloir sortir les muscles face aux Occidentaux. La visite surprise de Joe Biden en Ukraine a donc été perçue comme un affront supplémentaire bien que Moscou ait été prévenue en amont par la Maison Blanche de cette visite.
En réponse, la Russie a souhaité réaliser à un tir d’essai supplémentaire de son dernier missile intercontinental Sarmat au moment même où le président américain réalisait son allocution. Le RS-28 Sarmat, surnommé Satan 2, est développé depuis 2009 et a connu un premier tir en avril 2022. Il doit à terme remplacer le R-36 en service depuis les années 60.
Selon la chaîne d’information CNN, des sources anonymes ont cependant affirmé que le dernier test de ce missile avait échoué durant la semaine, cette information n’a pas été confirmée ni démentie par le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov ce mercredi 22 Février. L’absence de communication officielle laisse cependant présager que le tir a en effet été un échec.
Vladimir Poutine a promis l’entrée en service courant de l’année 2023 de ce tout nouveau missile balistique intercontinental dans la triade des forces de dissuasion nucléaire russe, système qu’il a décrit comme “capable de déjouer tous les systèmes anti-aérien du monde”, ajoutant qu’il faudrait “réfléchir à deux fois à ceux qui voudraient menacer la Russie”.
Rappelons que le Satan-2 est un missile hors-norme de par sa taille de 35 mètres de hauteur et pesant jusqu’à 208 tonnes capable d’emporter 10 ogives nucléaires pouvant frapper jusqu’à 18 000 km de distance. Le Sarmat, malgré les éléments de langage russe, ne représente pas réellement une montée en puissance mais permet de maintenir la crédibilité de la dissuasion nucléaire russe."
Suite à l’annonce surprise de la venue à Kiev du président américain Joe Biden, la Russie annonça un test de son tout dernier missile intercontinental Sarmat aussi appelé “Satan II”.
Depuis les dernières annonces d’envoi de matériels occidentaux à destination de l’Ukraine (chars légers, véhicules de combat d’infanterie et chars lourds), la Russie ne se cache pas de vouloir sortir les muscles face aux Occidentaux. La visite surprise de Joe Biden en Ukraine a donc été perçue comme un affront supplémentaire bien que Moscou ait été prévenue en amont par la Maison Blanche de cette visite.
En réponse, la Russie a souhaité réaliser à un tir d’essai supplémentaire de son dernier missile intercontinental Sarmat au moment même où le président américain réalisait son allocution. Le RS-28 Sarmat, surnommé Satan 2, est développé depuis 2009 et a connu un premier tir en avril 2022. Il doit à terme remplacer le R-36 en service depuis les années 60.
Selon la chaîne d’information CNN, des sources anonymes ont cependant affirmé que le dernier test de ce missile avait échoué durant la semaine, cette information n’a pas été confirmée ni démentie par le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov ce mercredi 22 Février. L’absence de communication officielle laisse cependant présager que le tir a en effet été un échec.
Vladimir Poutine a promis l’entrée en service courant de l’année 2023 de ce tout nouveau missile balistique intercontinental dans la triade des forces de dissuasion nucléaire russe, système qu’il a décrit comme “capable de déjouer tous les systèmes anti-aérien du monde”, ajoutant qu’il faudrait “réfléchir à deux fois à ceux qui voudraient menacer la Russie”.
Rappelons que le Satan-2 est un missile hors-norme de par sa taille de 35 mètres de hauteur et pesant jusqu’à 208 tonnes capable d’emporter 10 ogives nucléaires pouvant frapper jusqu’à 18 000 km de distance. Le Sarmat, malgré les éléments de langage russe, ne représente pas réellement une montée en puissance mais permet de maintenir la crédibilité de la dissuasion nucléaire russe."
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