Le parlement roumain a récemment donné son accord pour l’achat de deux sous-marins de la classe Scorpène à Naval Group pour un montant estimé à 2 milliard d’euros.
La Roumanie qui avait fait part de vouloir renforcer et moderniser ses forces armées en amenant la part du budget de sa défense à 2.5% du PIB en 2023. L’achat de deux sous-marins à propulsion classique, dans le cas de la classe Scorpène cette propulsion se fait par anaérobie.
Le Scorpène qui mesure entre 60 et 76 mètres selon les versions a été spécialement conçu pour l’export. Ce dernier peut emporter jusqu’à 33 membres d’équipage, il est équipé de six tubes lance-torpilles de 533 mm avec 18 torpilles et peut également accueillir le missile Exocet si besoin. La classe Scorpène équipe déjà la marine brésilienne, indienne, chilienne et malaisienne et devrait prochainement arriver dans les eaux européennes avec la marine roumaine qui deviendrait la cinquième nation utilisatrice du Scorpène.
Attention cependant car des désaccords sont encore présents entre le chantier naval de Constanta et Naval Group, des impasses financières demeurent.
Naval Group en avait besoin après le retrait de l’Australie du “contrat du siècle” avec l'industriel français qui avoisinait les 50 milliards d’euros pour finalement rallier les Etats-Unis avec leur classe de sous-marins Virginia à propulsion nucléaire. Naval Group n'avait alors pas signé de nouvel accord à l’international pour la vente de sous-marins.
Tandis qu'en Novembre 2022, plus d’un an après la rupture du contrat avec l’Australie, Emmanuel Macron avait proposé au nouveau gouvernement australien la construction de quatre sous-marins à propulsion afin de combler l’attente entre le remplacement de 6 ses classes Collins et l’arrivée tardive des classe Virginia à propulsion nucléaire par les Etats-Unis. Malheureusement, cette proposition fût définitivement enterrée peu de temps après.
Naval Group s’est depuis positionnée sur les appels d’offres du Canada, de la Roumanie et de l’Inde qui doivent respectivement remplacer et renforcer leurs capacités sous-marines.
Pour l’heure, nous ne savons toujours pas quels arrangements ont été trouvés, notamment sur les parties financières.
Le parlement roumain a récemment donné son accord pour l’achat de deux sous-marins de la classe Scorpène à Naval Group pour un montant estimé à 2 milliard d’euros.
La Roumanie qui avait fait part de vouloir renforcer et moderniser ses forces armées en amenant la part du budget de sa défense à 2.5% du PIB en 2023. L’achat de deux sous-marins à propulsion classique, dans le cas de la classe Scorpène cette propulsion se fait par anaérobie.
Le Scorpène qui mesure entre 60 et 76 mètres selon les versions a été spécialement conçu pour l’export. Ce dernier peut emporter jusqu’à 33 membres d’équipage, il est équipé de six tubes lance-torpilles de 533 mm avec 18 torpilles et peut également accueillir le missile Exocet si besoin. La classe Scorpène équipe déjà la marine brésilienne, indienne, chilienne et malaisienne et devrait prochainement arriver dans les eaux européennes avec la marine roumaine qui deviendrait la cinquième nation utilisatrice du Scorpène.
Attention cependant car des désaccords sont encore présents entre le chantier naval de Constanta et Naval Group, des impasses financières demeurent.
Naval Group en avait besoin après le retrait de l’Australie du “contrat du siècle” avec l'industriel français qui avoisinait les 50 milliards d’euros pour finalement rallier les Etats-Unis avec leur classe de sous-marins Virginia à propulsion nucléaire. Naval Group n'avait alors pas signé de nouvel accord à l’international pour la vente de sous-marins.
Tandis qu'en Novembre 2022, plus d’un an après la rupture du contrat avec l’Australie, Emmanuel Macron avait proposé au nouveau gouvernement australien la construction de quatre sous-marins à propulsion afin de combler l’attente entre le remplacement de 6 ses classes Collins et l’arrivée tardive des classe Virginia à propulsion nucléaire par les Etats-Unis. Malheureusement, cette proposition fût définitivement enterrée peu de temps après.
Naval Group s’est depuis positionnée sur les appels d’offres du Canada, de la Roumanie et de l’Inde qui doivent respectivement remplacer et renforcer leurs capacités sous-marines.
Pour l’heure, nous ne savons toujours pas quels arrangements ont été trouvés, notamment sur les parties financières.
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