Le 4 décembre, alors qu’Emmanuel Macron est en visite officielle en Chine, le constructeur européen a annoncé avoir signé un partenariat stratégique avec le réseau G60 de télécommunications depuis l'orbite basse, soutenu par Shanghai.
La signature du protocole d’accord (MoU) a eu lieu à l’occasion de la conférence 2025 de l’écosystème industriel de l’internet par satellite. Le MoU permet à Airbus de compter sur l’opérateur SpaceSail (alias Yunxian), de rejoindre le pool de fournisseurs en connectivité en vol des appareils Airbus.
Pour apporter une capacité Wi-Fi à haut débit en vol, Airbus équipent les appareils vendus à ses clients de terminaux Thinkom Ka2517. Installée en haut du fuselage, l’antenne plate est proposée comme compatible à différentes constellations satellites de broadband (internet à haut débit), peu importe l’orbite. Ce sont aux opérateurs satellites de s’assurer de la compatibilité de leur service avec le terminal, afin de satisfaire les envies du plus de compagnies aériennes possible. Ainsi, Airbus a introduit le produit Airspace Link HBCplus (High Banwidth Connectivity plus) comme option dans le catalogue SFE, le 15 juillet au Salon du Bourget. Depuis, on compte parmi les partenaires Intelsat, Hugues, Panasonic depuis l’orbite géostationnaire, SES depuis les orbites moyenne (O3b) et géostationnaire, et Telesat, OneWeb (Eutelsat), et Amazon leo (ex Kuiper) en orbite basse.
SpaceSail est donc le dernier partenaire à rejoindre la galaxie Airbus de connectivité en vol, forte de sa constellation satellites Qianfan (alias G60), en cours de déploiement. Plus d’une centaine de satellites ont été déployés depuis 2024. Au total, la constellation en comptera 12 000. SpaceSail est aussi le premier partenaire chinois du produit, un deal plus intéressant pour la demande croissante dans les marchés asiatiques, deux mois avant l’ouverture du salon aérien de Singapour, qui se tiendra du 3 au 6 février 2026. C’est aussi un nouveau partenariat pour Airbus, après 40 ans de présence en Chine. Le constructeur pourrait aussi étendre son partenariat avec Landspace, qui projette aussi une constellation de 20 000 satellites, ou encore avec la constellation Guowang du gouvernement.
C’est la projection annoncée hier par Novaspace. L’arrivée des constellations de satellites internet en orbite basse comme Starlink permettent désormais un flux puissant à très faible latence, ce qui étend considérablement les applications en vol, et l’agrément des passagers. United, Air France, British Airways (via le groupe AIG), et de nombreuses autres compagnies ont choisi d’équiper leur flotte avec Starlink. Ils ont dernièrement été rejoint par Emirates et Qatar Airways à l’occasion du Dubai Air Show.
Le 4 décembre, alors qu’Emmanuel Macron est en visite officielle en Chine, le constructeur européen a annoncé avoir signé un partenariat stratégique avec le réseau G60 de télécommunications depuis l'orbite basse, soutenu par Shanghai.
La signature du protocole d’accord (MoU) a eu lieu à l’occasion de la conférence 2025 de l’écosystème industriel de l’internet par satellite. Le MoU permet à Airbus de compter sur l’opérateur SpaceSail (alias Yunxian), de rejoindre le pool de fournisseurs en connectivité en vol des appareils Airbus.
Pour apporter une capacité Wi-Fi à haut débit en vol, Airbus équipent les appareils vendus à ses clients de terminaux Thinkom Ka2517. Installée en haut du fuselage, l’antenne plate est proposée comme compatible à différentes constellations satellites de broadband (internet à haut débit), peu importe l’orbite. Ce sont aux opérateurs satellites de s’assurer de la compatibilité de leur service avec le terminal, afin de satisfaire les envies du plus de compagnies aériennes possible. Ainsi, Airbus a introduit le produit Airspace Link HBCplus (High Banwidth Connectivity plus) comme option dans le catalogue SFE, le 15 juillet au Salon du Bourget. Depuis, on compte parmi les partenaires Intelsat, Hugues, Panasonic depuis l’orbite géostationnaire, SES depuis les orbites moyenne (O3b) et géostationnaire, et Telesat, OneWeb (Eutelsat), et Amazon leo (ex Kuiper) en orbite basse.
SpaceSail est donc le dernier partenaire à rejoindre la galaxie Airbus de connectivité en vol, forte de sa constellation satellites Qianfan (alias G60), en cours de déploiement. Plus d’une centaine de satellites ont été déployés depuis 2024. Au total, la constellation en comptera 12 000. SpaceSail est aussi le premier partenaire chinois du produit, un deal plus intéressant pour la demande croissante dans les marchés asiatiques, deux mois avant l’ouverture du salon aérien de Singapour, qui se tiendra du 3 au 6 février 2026. C’est aussi un nouveau partenariat pour Airbus, après 40 ans de présence en Chine. Le constructeur pourrait aussi étendre son partenariat avec Landspace, qui projette aussi une constellation de 20 000 satellites, ou encore avec la constellation Guowang du gouvernement.
C’est la projection annoncée hier par Novaspace. L’arrivée des constellations de satellites internet en orbite basse comme Starlink permettent désormais un flux puissant à très faible latence, ce qui étend considérablement les applications en vol, et l’agrément des passagers. United, Air France, British Airways (via le groupe AIG), et de nombreuses autres compagnies ont choisi d’équiper leur flotte avec Starlink. Ils ont dernièrement été rejoint par Emirates et Qatar Airways à l’occasion du Dubai Air Show.
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