Le Cnes a recensé plus de 120 entreprises françaises du secteur spatial pour favoriser les coopérations et encourager le « réflexe France ».
Suite à la disparition de Jean-Marie Luton, autre acteur majeur du spatial français et européen, un nouvel hommage collectif a été enregistré et est disponible sur la chaîne Ideas In Science.
Chaque année, l'industrie mondiale des satellites tient Congrès au mois de mars à Washington. A chaque fois, l'occasion pour Air & Cosmos de passer en revue les problématiques du secteur. L'occasion de partager ce dossier qui a été publié au début du mois de mars dernier avant que la pandémie de coronavirus vienne frapper à leur tour les Etats-Unis.
Un autre acteur majeur du spatial français et européen s’est éteint le 16 avril. Jean-Marie Luton avait réussi le Grand Chelem : diriger successivement le CNES, l’ESA et Arianespace.
Suite à la disparition du professeur Blamont le 13 avril, la chaîne Ideas In Science a rassemblé plusieurs témoignages de personnalités qui ont côtoyé le pionnier du spatial français, amoureux des ballons et de la Guyane, écrivain et philosophe.
C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès ce 13 avril de l’astrophysicien Jacques Blamont, personnage emblématique du spatial français qu’il a contribué à faire naître.
Arianespace, la société française qui exploite et commercialise aujourd’hui les lanceurs Ariane, Vega et Soyouz en Guyane, a été officiellement fondée le 26 mars 1980.
Les mesures de prévention pour endiguer la pandémie concernent également le secteur spatial. Depuis le 16 mars, place au télétravail pour la plupart des agents du Cnes et de l’Agence spatiale européenne.
Le 10 mars 1970, le lanceur Diamant B réussissait la mission franco-allemande DIAL depuis le Centre spatial guyanais. Le succès s’expliquait notamment par une nouvelle dynamique insufflée par le CNES.